12ème Biennale Internationale de Saint-Etienne

Mardi 5 avril , j’étais présent à l’inauguration de la 12 ème Biennale Internationale de Saint-Etienne. Cette édition incite les acteurs du design à partir à l’aventure, à faire un pas de côté pour explorer de nouveaux chemins, ici et maintenant. Elle invite également le public à évaluer le design comme un outil potentiel pour bifurquer.

Un rendez-vous incontournable pour Saint-Étienne, seule ville française labellisée créative design UNESCO. La Cité du design et l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne (Esadse) ont conçu une biennale pour tous les publics, les initiés et les non-initiés au design, en envisageant des situations de bifurcations individuelles, des expérimentations collectives, des actes créatifs, agiles et innovants.
Depuis sa création la biennale n’a cessé d’évoluer, de s’enrichir et de s’organiser autour d’un objectif central : démocratiser le design, le rendre accessible à tous les publics à travers une vision large du métier de designer et de ses multiples applications.
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Au programme des expositions et plus de 150 évènements sur le bassin stéphanois avec pour thème la bifurcation.
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J’étais présent, jeudi 7 avril, à l’inauguration de la nouvelle exposition « En marges des fabriques »  au musée d’art et d’industrie.
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Sophie Auger-Grappin, Directrice du Creux de l’enfer a sélectionné des oeuvres autour de groupes d’objets industriels ou artisanaux. Pour la plupart témoins de l’essor de la période industrielle, les objets conservés au musée incarnent l’avènement du geste moderne libéré de la production artisanale et localisée. Ainsi, les collections de rubans, d’armes et de bicyclettes dessinent des univers antagonistes et révèlent une certaine identité de la femme et de l’homme moderne en mutation.
Vendredi 8 avril, je me suis rendu à l’exposition « Voies Parallèles » au showroom de la Pépinière République : exposition d’artisanat d’art et de design.
Venez nombreux découvrir comment le Design participe à changer Saint-Etienne.