Samedi 19 mars, j’étais présent à la commémoration du 60ème anniversaire des accords d’Évian à Saint-Étienne. Ces Accords d’Évian, signés le 18 mars 1962 ont réuni les représentants du Gouvernement français et ceux du Gouvernement provisoire de la République algérienne pour conclure les accords qui mettent fin à la guerre d’Algérie, qui avait débuté un peu plus de 7 ans plus tôt, en novembre 1954.
Un devoir de mémoire qui doit rassembler la Nation sur cette blessure de l’histoire contemporaine.
« Le 19 mars 1962 ne fut ni le début de la paix, ni la fin de la guerre. »Emmanuel Macron, Président de la République
L’histoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie a, à cet égard, fait l’objet d’une attention particulière du Président de la République, tant les blessures mémorielles issues de cette période sont encore vives dans notre société. Depuis 2017, j’ai voté de nombreuses lois en faveur du monde combattant. L’ensemble des droits à réparation et à reconnaissance du monde combattant est maintenu. Aucun dispositif fiscal ni budgétaire n’a été remis en cause, c’est le signe d’une volonté politique forte :
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« Pendant des décennies, les mémoires de la guerre d’Algérie sont restées cloisonnées, clivées, divisées. Ce que nous avons fait ensemble, c’est un parcours de reconnaissance. »Emmanuel Macron, Président de la République
Lundi 21 mars, j’ai souhaité échanger avec le poète et fils de harki Messaoud Gadi. Nous devons continuer à œuvrer pour la pleine reconnaissance des harkis. Je tiens à le remercier pour son cadre-poésie d’hommage à notre ville et à sa légendaire équipe de football l’ASSE.