A l’invitation du Collectif pour une transition Citoyenne, j’ai participé, dimanche 25 mars, à la conférence sur le projet de création d’un réseau de voies vertes métropolitaines, animée par Loïs Moreira, membre de la commission aménagement d’Ocivelo.
Saint-Étienne s’est longtemps revendiqué comme la Capitale du vélo, mais dans les faits, c’est l’une des dernières métropoles de France en termes de pratique de la bicyclette.
Saint-Étienne jouit d’un formidable potentiel inexploité : les anciennes lignes de fret du charbon. De ce fait, elle pourrait devenir un « terrain d’expérimentation des nouvelles mobilités » comme le suggère le conseil de développement dans son dernier rapport.
Ainsi, OCIVÉLO explore le territoire, à la recherche de connexion possible, dans un environnement agréable afin de relier des points stratégiques de la métropole.
Pour améliorer la pratique du vélo sur leur territoire, les stéphanois préconisent « la création d’un réseau cyclable complet et sans coupure » (82% des répondants le préconisent) suivi de « la création d’itinéraires directs et rapides » (61% des répondants le préconisent).
Ayant anticipé ces résultats, Ocivélo travaille depuis plus d’un an sur la création d’un vaste réseau structurant de voies vertes métropolitaines. L’objectif de ce vaste réseau structurant est de relier les points stratégiques de la métropole de manière sécurisée, continue et séparée du trafic motorisé avec des pentes raisonnables.
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