A 45 jours du premier tour des élections municipales, je vous dois transparence et clarté. C’est pourquoi, je vous annonce, aujourd’hui, ma décision : je ne serai pas candidat aux élections municipales des 15 et 22 mars prochains.
Cette décision est en pleine cohérence avec l’engagement pris auprès des Stéphanoises et des Stéphanois lors de la campagne des législatives et renouvelé en juin dans la presse locale de ne pas être candidat aux élections municipales.
Au sein du parlement et aux côtés du gouvernement, je souhaite continuer à œuvrer aux transformations nécessaires pour notre pays, répondre aux préoccupations sur lesquelles les Françaises et les Français nous attendent : l’emploi, la protection sociale, la citoyenneté et la sécurité.
D’ailleurs, aujourd’hui et ce jusqu’à l’été, je conduis, à l’Assemblée nationale, les travaux de deux missions parlementaires essentielles pour la sécurité des Françaises et des Français autour de la lutte contre le terrorisme et de l’amélioration de la sécurité de nos concitoyens.
Ma mobilisation pour Saint-Etienne reste entière.
Je suis engagé, depuis 2017, dans des actions essentielles pour notre Ville : stabilisation des dotations de l’État (la baisse des dotations a été stoppée depuis 2018), doublement des crédits alloués à la politique de la ville et à la rénovation urbaine, sanctuarisation des crédits pour les alternatives à l’A45, rénovation enfin réalisée de la Gendarmerie rue Claude Odde, réhabilitation, dès juin prochain, de l’Hôtel de Police cours Fauriel, mise en place de la Police de Sécurité du Quotidien, notamment.
Les enjeux futurs qui se dessinent méritent une attention toute particulière, notamment, eu égard aux compétences aujourd’hui élargies des régions en matière de développement économique, de formation professionnelle et d’enseignement supérieur, d’aménagement du territoire, d’environnement et de transports durables.
C’est pourquoi, je ne serai pas candidat aux élections municipales des 15 et 22 mars prochains.